voici un petit texte a lire et a relire
COURIR EN MUSIQUE.
La musique m’accompagne parfois ,
rendant la séance plus motivante ou moins barbante, c’est selon.
Inconvénients :ne pas mettre le son trop fort, c’est pas bon pour l’audition
ni pour sa sécurité ,car il faut garder une écoute aux bruits extérieurs.
La musique booste la séance .Si l’on n’y prend pas garde ,elle nous impose son rythme.
Avantages :en dehors du fait qu’elle nous tiens compagnie ,elle rend la sortie moins longue
en occupant notre esprit.
C’est aussi un bon moyen pour courir en endurance si l’on reprend les paroles ,
puisque personne n’écoute.
C’est aussi une façon d’entretenir et d’améliorer son Anglais .
C’est fou les titres qui parlent de partir ,de courir.
C’est en les écoutant ,que m’est venu l’idée de vous les faire partager.
Versions Françaises :
D’abord se décider a :« Partir » de Julien Clerc.
Ne pas rester « assis sur le rebord du monde » de Francis Cabrel.
Puisque que j’ai « rendez vous avec moi-même » des Rita Mitsouko.
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« Là où je vais » de Laurent Voulzy
« j’irai au bout de mes rêves » de Goldman,
c’est forcement « destination ailleurs » de Yannick Noah.
Puisque « j’irai a New York avec toi » courir bien sur le marathon de Téléphone.
« Est-ce que tu me suis » de Pagny c’est « là ou je t ‘emmènerai »
Non ,il n’y a personne, puisque « j’cours tout seul » de William Sheller
Un peu fatigué ,alors « Je marche seul » de Goldman.
Parfois ,je « rame » de Souchon ,et aussi « j’traine des pieds » d’Olivia Ruiz
Allez ça va mieux ,
« On avance » on « Saute en l’air » de Souchon
La forme revient ,je suis presque « En apesanteur » de Calogero
.
Version Anglaises :
« Jump » de Van Halen ………………… sautes ,
et aussi « Running with the devil » …….. courir avec le diable, même pas peur !
«Running up that hill » de Kate Bush …..gravir la montagne , c’est pour les trailers.
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« Run to you » de Bryan Adams ………… j’cours vers personne .
« Judy run run » des Rubettes…………….. pas concerné, je m’appelle pas de Judy.
« Ride like the wind » de Christopher Cross… se déplacer comme le vent, c’est pour les champions.